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Spirit 45 Club Med Avis Conseils

Nombre de Tridents / Montée en gamme / Tarifs


Invité Stone

Messages recommandés

il y a 12 minutes, nouch30 a dit :

Pourquoi payer un GO à découper et servir à l'assiette un filet en croute sous les tropics, alors qu'un simple barbeuk de langoustes justes grillées c'est si bon.

Ben oui, mais dans leur politique de montée en gamme, la cuisine à l'assiette est tellement vendue et survendue... T'imagines, on vante à un GM qu'un cuisinier va cuisiner juste sous ses yeux un plat rien que pour lui. Au final, ça en jette, non ?! :) Ce qui en jette, c'est la file d'attente que ça génère. Ceci dit, à Da Balaïa, les entrées spéciales à l'assiette étaient juste à tomber, mais réalisées avec des ingrédients simples même s'il fallait 3 plombes pour les dresser. A Yasmina, pareil sauf que pas de file d'attente car le club était au 1/3 plein. :D

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Dans certains cas, la présence d'un serveur qui donne une quantité précise dans une assiette (sans les fioritures qui ne servent à rien) aide à réguler le buffet Flunch et sécuriser les gens.
Je me souviens d'une soirée "Buffet de la mer", devant moi, une dame belge assez imposante découvre une montagne de moules, elle reste pétrifiée de bonheur et ne fait plus un geste !
Au bout d'un moment, je la double pour attraper 2 crevettes à un mètre de là...
"J'étais avant vous Madame !"  Bim, elle a cru que je voulais lui voler ses moules !
De même, imaginez, un buffet de foie gras, abandonné au bon vouloir des morfales, eux GM...
Le service à l'assiette, si c'est pour avoir une cuisse de poulet, une cuillère à café de purée de brocolis et un trait de sauce pour faire joli, c'est pas la peine !
Un barbecue, de temps en temps, c'est bien, mais, il faut varier les plaisirs... 
Sur ce, bon appétit ! mang07u.gif

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le problème est que cette année à Peisey le service à l'assiette c'était lent pour avoir certes une belle déco mais des trucs pas bons ou pas gastro (roti de porc, filet mignon de porc, poulet aux hormones dit fermier, poulet aux hormones dit rôti....)

le filet de boeuf c'était pour la soirée de gala ou pour le déjeuner du samedi, jour de départ et fermeture

donc perso la beauté de l'assiette je m'en fiche, l'attente pour une assiette me gêne +++ en revanche ce qui compte est que ça soit bon, et j'ai pas eu (comparativement à Y-1)

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  • Gentil Contributeur

Alors moi si il y a la queue, c'est niet, je n'y vais pas... Je veux bien attendre un peu, mais pas 30 minutes comme déjà vu.

Je fais le tour et je prends autre chose!

 

y 2 trucs qui me gonflent: les 3 tranches de carpaccio et les 3 huîtres, c'est con, faut y aller 4 fois mini, ça génère des frais niveau vaisselle:D

 

Le truc étrange c'est le barbeuk de Langouste, les gens ont du croire que ça allait leur être facturé sur leur CM Pass, il n'y avait presque personne, j'ai pu y aller 3 fois et on pouvait en prendre plusieurs à chaque fois:ph34r:

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il y a 6 minutes, nouch30 a dit :

y 2 trucs qui me gonflent: les 3 tranches de carpaccio et les 3 huîtres, c'est con, faut y aller 4 fois mini, ça génère des frais niveau vaisselle:D

Si tu demandes gentiment au doudou serveur, avec un sourire, il te double la doses, ça t'évite d'y retourner...
Les langoustes de Lionel (avec supplément) sont tellement énormes qu'une demie suffit à te caler, même pas besoin du plat suivant ! 
f-0-146.gif?w=550

 

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  • Gentil Contributeur

Alors sur la file d'attente, je suis comme vous pas question de passer du temps à jouer des coudes pour un résultat souvent décevant. :(

Sois je déjeune ou je dîne tard et "les morfales sont déjà passés", j'avise en fonction de ce qui est proposé sinon je fais l'impasse et je trouve toujours quelque chose d'autre qui va me nourrir. ;)

Sur les langoustes de Lionel, complètement d'accord avec toi Mélusine, j'ai testé l'an passé et effectivement une langouste nous a suffit on n'a pas pris le plat suivant. On paye un supplément c'est vrai mais on n'est pas volé sur la marchandise ! :)

 

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  • Gentil Contributeur
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tout a fait d'accord avec vous , le niveau de prestations culinaires du club est souvent largement en dessous  du prix demandé.     on a connu mieux  mais l'époque a changé . personnellement je regrette le temps des tables de 8 ou environ avec  le choix de deux plats au soir , le potage et l'entrée le tout servi a table ..  ca me plaisait mieux que  les buffets du soir quand il faut faire la file ....et c'était plus convivial .      et dire que le  restaurant typique   remplace  pour ceux qui veulent  etre servis a table ..  c'est   un peu léger .  j'ai été une fois au typique a kemer , c'était bon mais sans plus   j'y ai été une autre fois  a valmorel  , c'était LOL   du rudimentaire basique moins bon  que dans le restaurant principal .. on m'a  demandé ce que j'en pensais et ma réponse a été un niveau " hotel mercure  et encore ..".    Par contre le typique a peisey vallandry  pierrade  et fondue était pas mal ..    mais ces dernières années , effectivement  le niveau  de la restauration a baissé    absence de langoustes a  la caravelle par exemple ..  et  heu .. cocktails   parfois allongés et pas bons .. je préfère n'en boire qu'un mais un bon ..

de temps en temps , il y a quand meme une bonne surprise mais on est loin  des buffets du temps jadis ..  certes ces buffets  étaient accompagnés d'un énorme gaspillage  autrefois   et il faut limiter le gaspillage  mais il y a d'autres systèmes  pour limiter  l'exagération ... et je suis d'accord qu'on peut faire du tres bon avec des produits simples  ex ;  la restauration des arcs .. c'était bon , copieux et gouteux  mais pas  de la haute gastronomie mais  j'ai trouvé que c'était parfait  comme rapport qualité prix  pour ce village l'hiver dernier ...  Bien évidemment quand on paye le double  on s'attend a mieux ..et là ce n'est pas toujours le cas ..   et pourtant la cuisine francaise  est une mine de  recettes traditionnelles plus savoureuses les unes que les autres  et  finalement pas chères du tout ..  mais il faut du personnel pour  la fine cuisine ..  Perso , je trouve  que le badique  actuel  a midi  copieux bon marché   et  un peu esprit cantine  comme maintenant    Ok  mais au soir un peu moins de quantité et plus de qualité .  ou d'inventivité ,   ca me botterait ..  mais sans tomber dans la nouvelle cuisine ou dans la cuisine moléculaire ..  

 

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  • 3 months later...

Voici un article où l'on nous explique ce qu'est la montée de gamme made in CM: il s'agit du luxe dématérialisé, c'est-à-dire une liberté de choix (des croissants au petit-déjeuner et pouvoir faire du sport à n'importe quelle heure) dans un contexte humain (équipe GO)... Personnellement, cela m'a laissé perplexe à plusieurs niveaux, mais je vous laisse juger. Voici l'article:

http://www.capital.fr/art-de-vivre/loisirs/liberte-intimite-luxe-comment-le-club-med-seduit-les-vacanciers-1192018

 

LIBERTÉ, INTIMITÉ, LUXE : COMMENT LE CLUB MED SÉDUIT LES VACANCIERS

De l’espace rien que pour soi, la liberté et la sérénité… C’est ce que cherchent les touristes aisés. Même le Club Med s’y met.

Vous pensiez partir en vacances en réservant au Club Med ? Erreur ! Vous allez «vivre une expérience». Telle est la promesse du «gentil organisateur» de séjours tout compris. Cela fait dix ans que, sous l’impulsion de son président, le très médiatique Henri Giscard d’Estaing, le Club Med a entrepris une montée en gamme salvatrice. Mais pas n’importe comment. «Nous n’avons pas cherché à jouer la carte du luxe matériel», nous explique Sylvain Rabuel, directeur général France, Europe, Afrique du Club Med, depuis un salon cosy de la nouvelle agence parisienne installée dans un appartement sur les Champs-Élysées. «Nous avons bien sûr embelli nos villages, travaillé sur le design, l’aménagement, les équipements. Mais nous avons voulu avant tout miser sur l’humain et le service.»

Fini donc les séjours en cases à Djerba et l’ambiance potache des «Bronzés» ; place au «luxe convivial» et à «l’attention personnalisée». Désormais, le Club Med mise tout sur le luxe dématérialisé, par opposition à la notion de luxe hôtelier, qui repose sur du concret : la surface de la chambre, l’épaisseur du matelas, la taille du téléviseur, le nombre d’étoiles du restaurant… «Cette notion de service hôtelier, très standardisée, nous semble dépassée et ayant peu d’influence sur la qualité réelle des vacances», assure le DG du Club. Ce qui compte, aux yeux des vacanciers d’aujourd’hui ? «De nouvelles notions comme : est-ce que je peux vraiment déconnecter ? Lâcher prise ? Pratiquer mes sports passion sans contrainte ? Est-ce que je peux mieux profiter de mes enfants, de ma famille, du temps que l’on passe en semble ? C’est important d’être bien installé, d’avoir le confort et de bien manger. Mais, au final, ce n’est pas ce que vous retiendrez de votre séjour.»

Espace et liberté

Sur quoi repose cette notion de luxe dématérialisé ? «D’abord, nous avons de l’espace : nos villages sont tous implantés dans des sites beaux et grands. Or c’est ce que demandent aujourd’hui les clients qui recherchent du haut de gamme.» Autre valeur du Club : la liberté de choix. «Nous faisons en sorte de proposer le meilleur à nos clients et de les laisser choisir.» C’est le cas à table – pas de contrainte d’horaires, de placement, de menus –, dans le sport, avec des activités pour tous niveaux et à tous moments. Et jusque dans le choix des dates des séjours, avec la possibilité d’arriver quand on veut et de modifier gratuitement jusqu’au dernier moment sa destination.

Avec ses petits chalets, le Club Med de Pragelato Vialattea, dans les Alpes italiennes, est organisé comme un vrai village de montagne. Le service Easy Arrival permet de réserver son équipement et de le trouver dans un casier chauffé, et d’être sur ses skis deux heures après son arrivée.

«Mais, surtout, nous avons nos GO (les fameux “gentils organisateurs”). C’est un vrai supplément d’âme, qui fait la différence. Ils sont plus d’une centaine par village, aucun hôtel dans le monde ne propose ça ! Cela nous permet de créer des relations personnalisées. » Cette année, le Club Med a décidé de «codifier» les attentions que peuvent avoir les GO à l’égard des vacanciers en lançant les «signatures Club Med». Soit un ensemble de petits gestes censés faciliter la vie des clients et rendre leur séjour unique. «Nous allons développer ces signatures au cours des cinq prochaines années et les étendre à tous nos villages. Ces petites choses qui simplifient la vie des gens, c’est une forme de luxe à nos yeux.» Concrètement, au ski, par exemple, il s’agit de proposer aux parents qui le souhaitent de laisser leurs enfants le matin en tenue de ville aux GO, qui s’occupent alors de les habiller et de les préparer pour aller skier. «Quand on doit s’équiper puis se déchausser plusieurs fois dans la journée, cela fait beaucoup de temps gagné et de tranquillité. » Autre initiative : offrir au quotidien fromages, pains et viennoiseries français dans les villages du monde entier.

 

Savoir-être plus que savoir-faire

Pour mettre en place cette stratégie, le Club a dû revoir la formation et surtout le mode de recrutement de ses 23.000 GO – de plus de 100 nationalités –, dont 8.000 changent chaque année. «Avant même le savoir-faire, pour incarner notre vision du service, ce qui compte, c’est le savoir-être de nos GO. Nous recherchons donc des gens avec une vraie intelligence émotionnelle, capables d’empathie, d’attention aux autres, sachant aussi transmettre leurs savoirs et leur passion, leur enthousiasme.» La clé pour donner aux vacanciers l’envie de venir et revenir au Club.

LA RÉALITÉ VIRTUELLE, OU COMMENT VIVRE CE QU’ON NE PEUT PAS RACONTER…

Si les clients veulent vivre des expériences en vacances, cela commence dès la préparation de leur séjour. Le Club a donc entièrement repensé la conception même de ses agences, en inaugurant, l’an dernier, un appartement sur les Champs-Élysées. Ici, pas de vitrine : on est reçu au premier étage d’un immeuble, dans un appartement parisien typique, avec moulures, bibliothèque et cheminée. On s’installe dans un confortable canapé et… on part en voyage. En effet, toutes les agences du Club sont équipées de casques de réalité virtuelle permettant de s’immerger dans certains des plus beaux villages. Grâce à des films, on les visite comme si on y était, et on peut même «tester» des activités, comme la plongée sous-marine ou le trapèze volant ! «On va devoir scénariser encore plus les différents voyages possibles pour les faire vivre à nos clients», ajoute Sylvain Rabuel, directeur général France, Europe, Afrique du Club Med. «Mais, au-delà du Club, la réalité virtuelle est une vraie opportunité pour le monde du luxe. Dans cet univers, on n’ose pas toucher le produit : là, on est dans le produit !» Surtout, cela permet de faire comprendre ce qu’est le Club à ceux qui n’y sont jamais allés. «Alors que nous avons encore parfois du mal à expliquer avec des mots en quoi nos séjours sont uniques, la réalité virtuelle permet de rendre cette expérience tangible… » Et l’expérience est visiblement convaincante : en un peu plus d’un an, l’agence des Champs-Élysées est devenue la première en Ile-de-France, tant du point de vue du nombre de visiteurs qu’en nombre d’achat de séjour après visite virtuelle !

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Il y a 12 heures, Loukoum a dit :

toutes les agences du Club sont équipées de casques de réalité virtuelle permettant de s’immerger dans certains des plus beaux villages. Grâce à des films, on les visite comme si on y était, et on peut même «tester» des activités

J'éprouve le même sentiment que toi, je suis perplexe.

Bientôt, on partira en séjour au Club via réalité virtuelle, et ça coûtera 2 X plus cher. Heureusement qu'il n'y a pas que ça en village, qu'on retrouve certaines (pas toutes) valeurs originales qui ont fait des villages Club des endroits où on aime revenir et des GO du Club des personnes qu'on aime retrouver.

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C'est vrai mais pour moi la montée en gamme risque de tuer cela petit à petit. Regarde le vouvoiement automatique des GO's, la difficulté de certaines équipes à encore proposer le café théâtre,... Cela se préserve que grâce à certains gm's et go's mais certainement pas grâce aux dirigeants.

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