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Coronavirus - Généralités


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  • Gentil Contributeur

Source:  AFP - Publié le à - Mis à jour le à 

 

Le voyagiste allemand TUI a annoncé mercredi qu'il compte supprimer 8.000 postes dans le monde, soit plus de 10% de ses effectifs, conséquence de la pandémie de coronavirus qui a mis à l'arrêt la plupart de ses activités.

"Nous voulons réduire nos charges administratives durablement de 30% sur l'ensemble du groupe" avec "des conséquences sur environ 8.000 postes" que "nous n'allons pas occuper ou supprimer", indique l'entreprise qui a fait état d'une perte nette au deuxième trimestre de 763,6 millions d'euros.

 
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  • Gentil Contributeur

Source: https://www.sudinfo.be/id189530/article/2020-05-13/la-belgique-risque-denfreindre-le-droit-europeen-si-elle-ne-rembourse-pas-les

La Belgique risque d’enfreindre le droit européen si elle ne rembourse pas les consommateurs!

La Belgique figure parmi une douzaine d’États membres de l’Union qui pourraient être en infraction au droit de l’Union sur le remboursement obligatoire d’un voyage annulé par un opérateur, a indiqué mercredi le commissaire européen à la Justice Didier Reynders, en charge de la protection des consommateurs.

 

«Une douzaine d’États membres semblent avoir pris des mesures contraires au droit de l’Union. Si l’État membre ne se met pas en conformité, nous examinerons les recours possibles, dont celui en infraction», a indiqué M. Reynders, lors d’un entretien par vidéoconférence avec quelques journalistes. La Belgique figure parmi ces pays, a-t-il confirmé.

Cette possible infraction prend la forme, selon les pays visés, d’un report du remboursement ou de l’imposition d’un bon à valoir (voucher) en remplacement du remboursement, qui reste pourtant un droit garanti dans l’UE en cas d’annulation de billets de transport (avion, train, autobus/autocar et transbordeurs) ou de voyages à forfait.

En Belgique, le gouvernement fédéral et sa ministre de l’Économie Nathalie Muylle avaient dans un premier temps permis aux agences de voyage d’octroyer un voucher plutôt que le remboursement, afin d’aider le secteur à affronter ses problèmes de liquidités.

Après de premières mises en garde de la Commission, la ministre CD&V avait adapté le système: les opérateurs disposent désormais d’un délai de 12 mois pour rembourser au client un voyage annulé en raison des mesures prises pour freiner la propagation du coronavirus.

Une douzaine de pays, dont la France et la Belgique, avaient demandé fin avril à la Commission européenne de suspendre l’obligation de remboursement. Mais la Commission a refusé. «Il faut penser à la personne qui ne peut pas reporter son voyage, ou celle qui a peut-être désormais besoin de cet argent. C’est justement en cas de crise que le consommateur a besoin de garantie», a fait valoir M. Reynders.

Pour répondre aux demandes du secteur, la Commission a présenté mercredi une série de recommandations pour rendre le voucher plus attractif, tout en insistant sur les droits et garanties du consommateur, notamment contre l’insolvabilité d’un opérateur.

Ainsi, recommande la Commission, les bons à valoir acceptés librement devraient être protégés contre l’insolvabilité de l’émetteur (éventuellement via un fonds de garanties), avoir une durée de validité minimale de 12 mois et être remboursables au bout d’un an au maximum s’ils ne sont pas utilisés.

Ils doivent également donner aux voyageurs suffisamment de souplesse, leur permettre de conserver le même itinéraire de voyage avec des conditions de services identiques ou de conclure un contrat de voyage à forfait prévoyant le même type de services ou d’une qualité équivalente. Les bons à valoir doivent également pouvoir être transférés à un autre voyageur.

Les États ont jusqu’au 2 juin pour exposer leurs arguments à la Commission, qui insiste par ailleurs sur sa volonté de dialogue.

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  • Gentil Contributeur

 

CONCERNE LES VACANCES DES BELGES A L'ETRANGER

Source: https://www.sudinfo.be/id191667/article/2020-05-17/didier-reynders-les-belges-ont-100-de-chances-de-partir-en-vacances-linterieur

Didier Reynders: «Les Belges ont 100% de chances de partir en vacances à l’intérieur du pays, 50 à 60% à l’étranger!»

Didier Reynders (Commissaire Européen à la justice) s’est exprimé au sujet des probables vacances que pourront prendre les Belges cet été dans le contexte délicat de la crise sanitaire du Coronavirus.

 

Crise du Covid-19 oblige, les Belges – et plus globalement l’ensemble des Européens – sont dans le flou concernant les prochaines vacances estivales. Ce midi, dans « C’est pas tous les jours dimanche », l’ancien ministre des affaires étrangères Didier Reynders s’est exprimé sur les chances qu’ont les Belges de partir profiter du soleil dans les prochaines semaines et mois à venir.

« Cela va fortement dépendre d’un pays à l’autre. Quand je vois l’évolution des décisions prises aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on est plus proche des 100 % de vacances à l’intérieur du pays. Mais dès qu’il s’agit de partir vers un pays étranger, cela dépendra de la décision belge mais aussi de la décision du pays d’accueil éventuel. Là, je dirais qu’on est autour des 50 à 60 % de chances. Mais cela se décidera toujours en fonction des éléments sanitaires. Est-ce que la situation va continuer de s’améliorer, comme on le voit dans un certain nombre de pays ? Moi, ce qui m’importe le plus, c’est l’information du touriste. Que celui ou celle qui veut partir en vacances, seul, avec sa famille ou des amis, sache exactement dans quelles conditions cela va se passer. Qu’il sache comment le mode de transport va être organisé, (est-ce que dans les avions par exemple, il y aura des masques et une distance sociale ? Cela fait débat.) Quelle sera la situation dans le lieu d’accueil ? (masques, équipement, mesure en cas de contamination. Tout cela sera important », explique et s’interroge-t-il.

 

L’actuel commissaire européen douche cependant nos espoirs d’un départ hors Europe : « Pour partir hors Europe, je ne pense pas qu’il y aura beaucoup d’ouverture. Nous ne sommes pas sûrs de la situation dans beaucoup de régions à travers le monde. Et aussi, on ne veut pas revivre la séquence de rapatriement en cas de nouveaux problèmes à travers le monde comme on l’a connu pendant cette vague de contamination. C’est le cadre dans lequel on se trouve. Beaucoup de pays vont plaider pour que leurs ressortissantes passent leurs vacances chez eux. C’est ce qu’il se passe déjà, notamment en France ».

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Edouard Philippe a mis le feu... les vacances sont de retour et la température grimpe dans les résa !

Pour Pierre&Vacances, Siblu, Logis, Misterfly... les réservations sont en hausses !

Depuis quelques heures, les attitudes changent dans notre belle industrie. Les communiqués de presse font leur retour, la communication négative laisse place à une communication projective, les émoticônes joyeuses sont aussi dans les posts sur Linkedin. Le discours du 14 mai 2020, d'Edouard Philippe a eu à n'en pas douter une incidence sur les envies de départ des Français. Alors, les réservations sont-elles en hausse ? Nous avons interrogé quelques professionnels et aussi le grand oracle du tourisme : Google.

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l y a 15 jours, le tourisme était dans le creux de la vague, abandonné par ses clients, ne se voyant plus d'avenir, il errait de ministère en plateau télévision, pour exister.

Soudain en l'espace de quelques jours, quelques mots, tout a [presque] changé.

Il y a une semaine, lorsque j'interrogeais 
les responsables des réseaux de distribution, les réponses étaient plutôt empreintes de pessimisme à l'aube du déconfinement.

"Comment ouvrir les agences et pour quoi faire ?" questionnait Adriana Minchella, la présidente du Cediv.

"Nous n'avons rien à vendre, j'entends que les frontières resteront fermées, Orly n'ouvrira pas avant l'automne, etc."

Sauf que cette réalité était celle de la semaine dernière, avant le discours du héros national, le sauveur de nos vacances estivales : Edouard Philippe.

"Les Français pourront partir en vacances en juillet et août..." a annoncé fièrement, sur le perron de Matignon, le Premier ministre.

Est-ce une déclaration de nature à créer une ruée de clients sur les sites internet des voyagistes français, comme les promotions d'Intermarché sur le Nutella ?

Nous n'en sommes pas encore là, mais des signaux positifs surgissent d'un peu partout.
 

Les vacances is back vive le tourisme et les réservations ?
Il suffit de se renseigner auprès du grand sachant universel pour se rendre compte que le 14 mai 2020 pourrait bien être le jour d'après, le point de bascule, vers une transformation des Français en touristes.

En épluchant, Google Trends, une courbe marque assez rapidement les esprits : celle des requêtes sur le mot "vacances".
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Avant le discours d'Edouard Philippe, elle affichait un dédain certain de la part des internautes affichant une fréquence cardiaque proche d'un coureur de fond au repos, puis à partir du 14 mai à 11h et la prise d'antenne des médias sur la question, les requêtes ont bondi.

Le pic a été atteint à 13h avant de redescendre, mais jamais aussi bas que les niveaux observés les jours précédents.

 

La reprise semble se dessiner, surtout qu'en observant les recherches associées au mot vacances, les internautes français ont privilégié "France d'outre-mer" (+950%), "Juin" (+150%) et "tout inclus" (+140%).

Les internautes ayant le plus besoin de partir se trouvent dans les régions Nord-Pas de Calais, Limousin et en Île-de-France alors qu'en queue de peloton se trouvent la Corse et le Languedoc-Roussillon.

Et toujours chez notre ami Google Trends, les géants de la distribution en ligne connaissent des pics de sollicitation, que ce soit pour Booking.com dont les requêtes sont passées de 38 à 100, entre 11h et 20h ce même jour de la libération, même constat pour Airbnb,
Club Med et consorts.

Même la start-up spécialiste de l'intelligence artificielle et dans le trackage des internautes, WAG.travel a observé ce rebond chez ses clients institutionnels ou non.

"Les audiences ont largement augmenté de l'ordre de 30% en l'espace d'une semaine depuis le déconfinement, sur un panel de 350 000 visiteurs.

Et jeudi dernier nous avons observé un net rebond," témoigne Guillaume Zaffaroni, le cofondateur de la start-up.

Mes ces recherches sur le web hexagonal se sont-elles transformées en réservation ?

Misterfly, Pierre&Vacancs, Logis et Siblu observent un redémarrage

Le temps des grises mines semble révolu ou presque, et les voix basses aussi. Les sourires s'entendent au téléphone.

"Effectivement, nous sommes ravis d'entendre de tels propos de la bouche du Premier ministre. Nous avons constaté dès l'annonce, une reprise du trafic, avec 25 à 30% en plus de visites.

Mieux, nous avons repris un petit volume de réservations fermes," rapporte Mikael Quilfen, le directeur marketing et communication de Siblu.

En effet alors qu'il est possible pour les clients de spécialiste de l'hôtellerie de plein air de pouvoir ne pas rentrer les numéros de la carte bancaire, ni rien payer, les visiteurs ont préféré confirmer leurs séjours.

Une bonne nouvelle et une joie visiblement communicative.

 

Du côté de Misterfly, après une semaine encourageante et porteuse d'espoir, Edouard Philippe est venu confirmer l'embellie.

Au-delà de la hausse spectaculaire du trafic (+ 60%) à partir de 13 heures, c'est surtout des ventes inhabituelles depuis quelques semaines qui ont fait leur retour.

"Nos deux éléments porteurs, depuis le discours, sont les reprises des ventes d'hôtels en France et des vols secs vers les Dom TOM," rapporte Frédéric Pilloud, le responsable digital de Misterlfy.

Même son de cloche du côté de Gregory Sion où, le tout nouveau patron de la marque Pierre & Vacances, a noté une très forte progression des visites et aussi des réservations.

Que ce soit l'aérien, les campings, les villages vacances, tout repart et l'hôtellerie ? "Aussi !" comme dirait Fernandel.

"Entre le 10 mai et le 14 mai, les ventes ont augmenté de l'ordre de 15%, avec aussi une multiplication du taux de conversion par deux," confie Karim Soleilhavoup, le directeur général de Logis Hotels & Citotel.

Pas de quoi sauter au plafond, mais cela démontre que les Français ne sont plus attentistes, en réservant pour l'été mais aussi le pont de l'Ascension.

La reprise est pour maintenant ?

Pour Matthieu Pihery, le directeur commercial de Belambra, les signaux sont là, mais il convient de tempérer.

"On a un doublement du trafic web sur la journée d’hier et les ventes suivent même si on reste encore très loin des volumes de l’année dernière pour le moment.

Donc à suivre la semaine prochaine, la tendance du week-end sera intéressante à regarder."

De même pour Siblu, où le dimanche est traditionnellement un jour important de concrétisation de réservation et de décision pour les ménages français.

D'autant que de nombreuses inconnues pèsent encore.

"L'information la plus importante pour nous sera la date d'ouverture des campings qui devrait tomber d'ici la fin mai.

A partir de là nous pourrons confirmer les options et rassurer nos clients," espère la responsable de Siblu.

Dans cette période de peur sanitaire, de crainte du comportement des autres, la réassurance des Français est l'une si ce n'est la principale mission à mener.

"Quand ils vont sur notre site, ils vont chercher deux informations, à savoir les mesures sanitaires pour voir si nous sommes à la hauteur et la flexibilité commerciale," rapporte le patron de Logis.

En somme, les Français ne cherchent pas nécessairement un prix, mais ont besoin de se rendre compte que leur sécurité sanitaire sera assurée en partant en week-end ou en vacances.

Si ces signaux sont positifs et démontrent l'amorçage d'une reprise, tout dépendra d'une potentielle deuxième vague tant crainte, il faut aussi se rendre à l'évidence que les volumes sont d'une extrême faiblesse.

De moins 90% à des réservations divisées par trois ou quatre, le chemin à parcourir est encore long, mais il est emprunté.

"Il est encore trop tôt pour crier victoire, mais les réservations reprennent et nous serons très actifs pour répondre à la demande des Français qui voudront partir en vacances," conclut Mikael Quilfen, le directeur marketing et communication de Siblu.

Pour une fois, concurrents ou non, les discours sont tous les mêmes.

https://www.tourmag.com/Edouard-Philippe-a-mis-le-feu-les-vacances-sont-de-retour-et-la-temperature-grimpe-dans-les-resa-_a103637.html?fbclid=IwAR17xEpwTUXU28pYeMZI02W1lFevES4Vz3fuVb98jwJxMYtJ5nkfoyThoqI

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  • Gentil Contributeur

Je viens de lire ceci dans plusieurs journaux :

CORONAVIRUS - Le secrétaire d’État chargé des transports Jean-Baptiste Djebbari a évoqué ce lundi 18 mai, devant la délégation aux Outre-mer de l’Assemblée nationale, la “piste des corridors sanitaires” qui pourraient être mis en place pour permettre aux touristes de l’hexagone de se rendre en Outre-mer cet été.

L’idée serait une quatorzaine divisée en deux périodes de confinement, avant le voyage, puis à l’arrivée, combinée à des tests de dépistage du coronavirus.

“Ce système pourrait donner à voir un parcours des passagers (...) sécurisé sur le plan sanitaire, tant au niveau de la quatorzaine partiellement réalisée de part et d’autre de la destination, que du parcours des passagers dans l’aéroport, à bord de l’avion et à l’arrivée, avec des pratiques de tests”, a expliqué Jean-Baptiste Djebbari.

 

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il y a 14 minutes, padawan94 a dit :

Je viens de lire ceci dans plusieurs journaux :

CORONAVIRUS - Le secrétaire d’État chargé des transports Jean-Baptiste Djebbari a évoqué ce lundi 18 mai, devant la délégation aux Outre-mer de l’Assemblée nationale, la “piste des corridors sanitaires” qui pourraient être mis en place pour permettre aux touristes de l’hexagone de se rendre en Outre-mer cet été.

L’idée serait une quatorzaine divisée en deux périodes de confinement, avant le voyage, puis à l’arrivée, combinée à des tests de dépistage du coronavirus.

“Ce système pourrait donner à voir un parcours des passagers (...) sécurisé sur le plan sanitaire, tant au niveau de la quatorzaine partiellement réalisée de part et d’autre de la destination, que du parcours des passagers dans l’aéroport, à bord de l’avion et à l’arrivée, avec des pratiques de tests”, a expliqué Jean-Baptiste Djebbari.

 

Je viens de lire ceci aussi, j'ai tweeté ce que j'en pense aux deux ministres concernés, c'est à dire "No Way" ! Rester 14 jours confinée, même 7 jours en France et 7 jours outremer pour passer une semaine ou deux de vacances, c'est niet, j'attendrai des jours meilleurs ! f-0-076.gif?w=34&zoom=2 

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  • Gentil Contributeur

En effet c'est pas des vacances, c'est une purge.

En gros les crazy-signs collés serrés c'est terminé et manger à table avec des inconnus va devenir compliqué. Pour les activités il faudra tout prévoir.

… je le voyais venir.

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  • Gentil Contributeur

Faudrait déjà que les locaux sur place soient irréprochables niveau distanciation sociale, et ça, je ne sais pas pourquoi, j'y crois assez peu… Pour que ça se justifie de nous emmerder avec de telles mesures.

Faudrait une âme charitable pour expliquer à ces incapables la signification des résultats d'un test.

C'est relativement complexe, et c'est très loin du positif=positif et négatif=négatif, parce qu'il y a des faux négatifs, des faux positifs, et tout ça s'analyse en fonction de la prévalence de la maladie et de la présence de symptômes ou pas sur la personne testée.

 

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Je pense que cette quatorzaine est peut-être appropriée pour les étudiants ultramarins qui rentrent passer l'été chez eux...
Pour les vacanciers de la Métropole, ça ne colle pas du tout, donc, si on souhaite vraiment favoriser la reprise du tourisme, il faudra trouver quelque chose de moins contraignant.
Dans la mesure où les compagnies aériennes souhaitent vivement reprendre l'activité sur ces lignes et compte-tenu que les ultramarins ont besoin de voyager (au moins professionnellement) entre les îles et la Métropole,  il y a quelques arguments à faire valoir en ce sens....
Pas de touristes, pas d'avion !
On repart en réunion ! f-0-0101.gif?w=35&zoom=2
 

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A partir du moment où le conseil constitutionnel a déclaré que ces quarantaines avec l’outre mer étaient anticonstitutionnelles, je ne comprends pas pourquoi les autorités insistent en ce sens, à part dégoûter les gens de partir aux Antilles alors que ça a été validé par le 1er ministre la semaine dernière. Ils me fatiguent à jouer avec mes nerfs

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