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Spirit 45 Club Med Avis Conseils

Le CM épinglé par le magazine Capital


bogro

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En fait, je compare les chambres Club entre elles et non pas Bungalow et chambres Club.

Je compre également des périodes comparables, en Décembre à Djerba, il doit faire 14°C, inutile de réserver :kopfkratz:

Mais à la limite, si on fait le prix moyen du catalogue Printemps-Ete 2010, on tombe à 850€ pour La douce en bungalow et 920 à Punta en chambre Club donc pour moi, c'est idem même en ne comparant pas la même chose (chambre, nombre de tridents...).

En gros pour revenir sur le sujet, on fait bien dire ce que l'on veut aux chiffres comme partout et qu'il faut prendre du recul par rapports aux articles de Presse :D

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Pour moi, le problème réside surtout dans la "Baisse en gamme" des GM™™™ qui ne cherchent pas à communiquer et à participer malgré tous les efforts des GO™™™ !

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eh ben je n'ai point connu cela à Opio et pourtant c'était assez bcbg, d'accord on ne parle pas à tout le monde mais même avec des tables de 2 au restaurant principal, le Provencal, j'ai pu facilement faire causette. Les tables de 2 étant côte à côte. J'ai trouvé les gms moins coincés que dans d'autres villages moins biens. Peut être que dans ces villages un peu plus classe, les gms veulent se sentir certes bien habillés mais plus naturels, moins frimeurs.

Après tous ne sont pas comme cela, des gms qui ne cherchent pas à communiquer, il y en a plein, un exemple, je fais une marche au village avec les gos sports terrestres, nous croisons une GM™™ avec une poussette jumelle, nous lui disons bonjour et regardons les bébés, point de réponse de sa part.

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Invité Bandita06
Juliette nous avons souvent cette même discussion, je crains que ta "vision" du Club ne soit un peu particulière: tu n'as été que dans villages 4 ou 5 T et qui plus est surtout en zone Asie. Je partage évidemment ton sentiment concernant les villages que nous avons en commun, de plus tu as un statut Gold, et je peux t'assurer que le traitement réservé à tel ou tel GM™™ n'est pas toujours le même suivant ce qui clignote à ton nom sur l'écran d'un réceptionniste...

J'ai aussi fréquenter des villages 2 ou 3 tridents en Afrique du nord, Turquie ou Grèce et même les villages ski, c'est évidemment pas toujours aussi glamour de tous les côtés!

Donc le Club Med™™ ne se résume pas à Albion et encore (des amis fans du Club y ont trouvé la bouffe et l'ambiance parmi les pires!! juste sauvé par la beauté du site et des chambres)

ce serait assez marrant que tu réserves un séjour sous un autre nom dans un village comme Nabeul, Cargèse ou Beldi par exemple...

mais bon là c'est pas bien on est encore en train de faire du HS...

pour l'article si qq'un a un scan, ce serait sympa... :)

Il y a aussi le clientèle pour Beldi et Nabeul, tout le monde n'a pas envie...ou pas le moyen d'aller l'Albion....pour moi, ça n'a rien à voir avec le CM, comme le Riyad d'ailleurs

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  • Gentil Contributeur
Il y a aussi le clientèle pour Beldi et Nabeul, tout le monde n'a pas envie...ou pas le moyen d'aller l'Albion....pour moi, ça n'a rien à voir avec le CM, comme le Riyad d'ailleurs

Je suis (et on est tous amha) de ton avis... c'est le CM qui ne l'est pas, en refusant d'avouer que ces clubs, ainsi que d'autres, sont en fait des "2T".

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Invité florencina
Bonjour,

Mars 2010 : El Gouna - 3 Tridents = Orange pressée tous les jours au petit-déjeuner, ainsi qu'au bar ... <_<

hello Kemer mai 2010 3T orange pressée tous les matins au petit déj!!!!!

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Je confirme, l'ambiance et le niveau de prestations sont deux choses différentes:

je n'ai pas aimé le site de nabeul ainsi que la nourriture, la vetusté des chambres mais j'ai passé d'excellentes vacances, idem pour la meridiana qui est pas top du tout au niveau infrastructure mais clientèle très sympa.

Par contre, je reviens de marrakech, plus de bouteilles d'eau, les buffets vides si on arrive avant la fermeture du buffet, la piscine calme pas chauffée car panne au niveau des machines, bref, j'ai trouvé ce village en déclin par rapport à mon dernier séjour...

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pour moi, ça n'a rien à voir avec le CM, comme le Riyad d'ailleurs

Il en faut pour tous les GO™ûts :)

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Il en faut pour tous les GO™™ûts :)

C'est sûr!!! mais c'est décevant quand tu arrives dans un village "soi disant" paradisiaque et que tu es déçue, soit par la restauration, soit par les chambres (par ex.réfrigérateur tout rouillé) ou la vie du village. :blink: :blink:

Je repars à Nabeul pour la 4ème fois, c'est vrai les chambres sont simples (nous le savons) mais nous avons toujours été contents de nos séjours et les GEs tunisiens sont vraiment très gentils. :D :D

Quant aux GMs, qu'importe le village nous nous sommes toujours fait des "copains". Il faut choisir.

Et je me rappelle cette phrase "moins on a de confiture plus on l'étale" :lol: :lol:

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Quant aux GMs, qu'importe le village nous nous sommes toujours fait des "copains". Il faut choisir.

Et je me rappelle cette phrase "moins on a de confiture plus on l'étale" :lol::lol:

Exact :lol: et quelquefois on en trouve plus (de frimeurs) ds les 2/3T (ex:Punta Cana...) que ds les 4/5T :blink:

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Exact :lol: et quelquefois on en trouve plus (de frimeurs) ds les 2/3T (ex:Punta Cana...) que ds les 4/5T :blink:

tout à fait, j'ai trouvé sur Opio beaucoup plus de classe, de m'as-tu vu que dans d'autres villages, et pourtant il y avait de la marque, et pour ceux qui n'oseraient pas aller de l'avant ou qui pensent plus classe donc plus coincé, non il faut être le plus naturel possible, même avec des fringues de chez H et M ou la redoute, en restant dans le dress code ou des vêments assez classiques,on passe toujous partout.

c'est vrai aussi Geneviève, un GO™™ me l'avait aussi dit le coup de la confiture :lol:

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Quelle bonne âme voudrait bien scanner l'article de Capital svp ?

je peux pas l'acheter dans un kiosque car il n'y est pas là où je me trouve...

merci par avance

je continue à passer de tps en tps vous lire !

je l'ai encore ce magasine ms je fais comment pour t'envoyer l'article??

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A la demande générale, voilà le fameux article...

Pas la peine de refaire les mêmes commentaires, hein ?

Le 03/06/2010 à 07:30 - Mis à jour le 03/06/2010 à 07:34

Club Med™, dix ans de muscu et toujours raplapla

Depuis qu’il est monté en gamme, le Club est devenu cher pour ses clients traditionnels mais manque encore de confort pour les touristes habitués aux hôtels de luxe. Un vrai dilemme.

«Venez tester le Club Med™», invite toujours son patron, Henri Giscard d’Estaing, quand il rencontre un journaliste. Fin mars, Capital l’a pris au mot. Incognito, nous nous sommes mêlés aux clients de La Médina à Marrakech. Donnant sur la célèbre place Djema’a el-Fna, ce village 3 tridents – les étoiles dans le langage de la maison – regorge de boiseries, mosaïques et vasques mauresques. Désuet, mais charmant. Le service, en revanche, n’est pas digne du prix, 1 000 euros la semaine par adulte, soit 40% de plus qu’au club Marmara voisin, d’un standing pas si éloigné.

La propreté du bar laisse à désirer, les serveurs ne nettoient pas les tables entre deux orangeades, les femmes de ménage entrent dans les chambres sans frapper, les fleurs et les chocolats offerts aux clients fidèles ont disparu. «Nous avons un petit problème à La Médina, qui sera réglé dans les prochains mois», concède Henri Giscard d’Estaing, teint hâlé et bracelet du Club au poignet. «Mais le nouvel espace 5 tridents, Le Riad, vous l’avez essayé ?», enchaîne-t-il. A 2 890 euros la semaine, non, pas encore…

L’époque «darli dirladada» des mythiques «Bronzés» est bien finie. Au Club Med™, on ne jure plus que par le haut de gamme. Une stratégie défendue bec et ongles par Giscard. A son arrivée aux manettes, en 2003, il avait promis de redresser les comptes en repositionnant le Club, trop «popu» à ses yeux. Le bilan, comme celui de son prédécesseur, Philippe Bourguignon, n’est hélas pas brillant. En dix ans, le Club a perdu un tiers de ses clients – ils étaient 1,2 million en 2009 – et accumulé 264 millions d’euros de pertes, dont 53 millions l’an passé.

Sa valeur en Bourse a été divisée par dix, à 400 millions d’euros – pour 1,36 milliard de chiffre d’affaires – aiguisant l’appétit des repreneurs les plus farfelus. Le nom de l’ex-argentier du foot Jean-Claude Darmon – qui a démenti – a circulé. Le styliste Christian Audigier a proposé ses services. Quant à Bernard Tapie, il a acheté puis revendu en décembre 1% du capital, en clamant partout que le modèle du Club n’était pas viable. «Henri» lui-même, comme on l’appelle en interne, ne prévoit pas de retour aux bénéfices avant… 2013.

Et, en privé, il bat sa coulpe avec l’humour pince-sans-rire qui le caractérise. «Mes actionnaires auraient des raisons de me virer, mais ils sont trop nombreux pour se mettre d’accord là-dessus», a-t-il lâché à des proches.Sur le papier, pourtant, la stratégie du chef des GO™ – gentils organisateurs – avait de quoi les séduire. Inventée par Gérard Blitz et Gilbert Trigano en 1950, la formule «tout compris» du Club Med™ – séjour-animation-buffet à volonté – était à bout de souffle au début des années 2000 : Nouvelles Frontières, Fram ou Look Voyages avaient pillé la recette. Plutôt que de la décliner à toutes les sauces (croisières, villages en ville…) comme le précédent P-DG, Giscard préféra fermer les sites les plus rustiques, dont ceux des débuts, composés de cases – tout un symbole – et monter tous les autres en gamme à l’horizon 2009.

Séduisant… Mais le pari n’a pas été tenu. En fin d’année dernière, seuls 41 des 76 villages avaient été rénovés. La direction a englouti pas moins de 600 millions d’euros dans l’opération, obtenus grâce à la vente des bijoux de famille

 : les Club Med™ Gym, le tour-opérateur Jet Tours et les murs des plus beaux villages. L’ampleur des travaux a fait voler en éclats le calendrier. «Certains se sont avérés plus lourds que prévu», admet, du bout des lèvres, le fils de l’ancien président de la République.

Il a donc fallu choisir. Priorité a été donnée aux 4 et 5 tridents (la moitié du parc actuel), dotés d’écrans plats, de lits «king size» et de moquette épaisse. Mais certains 3 tridents n’ont eu droit qu’à un ripolinage, comme Agadir, où les chambres standards ont bien été redécorées, mais dont la taille reste très inférieure aux normes. Une demi-douzaine de villages sont même en si mauvais état – Pompadour, en Corrèze, Les Menuires, en Savoie – qu’ils pourraient tout bonnement fermer.

Le problème, c’est que le Club Med™ n’a pas attendu la fin de son ambitieux lifting pour augmenter ses prix. «Sur certaines destinations, il y a un décalage criant entre les tarifs affichés et l’état des installations», reconnaît un cadre. Ce que son P-DG conteste : «Dans les villages non encore rénovés, nos prix n’ont pas augmenté plus vite que l’inflation.» A se demander comment l’ancien conseiller général du Loir-et-Cher mesure l’inflation. Car, en compulsant le catalogue de l’hiver 2006-2007, Capital a constaté des envolées bien supérieures à la hausse nationale des prix (+ 4,4%) relevée par l’Insee sur la période. Pour une famille de 4 personnes, partant une semaine à la mi-janvier, la facture a bondi de 29% sur Cancún et de 42% sur Chamonix

Et la valse des étiquettes donne le tournis après rénovation : + 53% aux Deux-Alpes par exemple. Pas étonnant, dans ces conditions, que le Club ait perdu autant de gentils membres – ou GM™. En 2009, ils sont 142 000 à avoir déserté ses 3 tridents. Certes, cette clientèle n’était pas la plus rentable. Mais elle était fidèle et remplissait les villages pendant les «ailes de saison», comme on dit dans le tourisme, avant et après les vacances scolaires. Faute de réservations suffisantes, la durée d’ouverture de nombreux clubs a été rognée d’un tiers, à deux ou trois mois par an.

Or, pendant ce temps-là, il faut payer les charges fixes, qui, elles, ont augmenté. En vendant certains murs pour dégager du cash, la direction s’est en effet contrainte à verser des loyers aux nouveaux propriétaires, alors que ses équipements étaient amortis depuis des lustres. Montant de la dépense en 2009 : 186 millions d’euros, en hausse de 17% sur deux ans.

Trop cher pour les GM™ historiques, le voyagiste peine aussi à attirer ceux qui peuvent s’offrir ses séjours plus coûteux : il n’a gagné que 13 000 clients l’an passé sur les 4 et 5 tridents. «Avec des tarifs allant de 5 000 à 10 000 euros la semaine pour une famille de 4 personnes, transport compris, le Club vise des foyers aux revenus supérieurs à 10 000 euros net par mois : c’est vraiment une niche», estime Didier Arino, du cabinet Protourisme.

Et les nouveaux riches des pays en forte croissance qui déferlent sur tous les lieux huppés de la planète ? Au Club, on les cherche encore. Les Brésiliens ne sont que 68 000 à avoir pris leur bracelet l’an dernier, les Chinois 23 000 et les Russes 10 000, soit moins de 9% des clients. Quant aux Indiens, ils ne figurent même pas dans les statistiques. Trop occupée à financer la rénovation de ses villages, la direction n’a guère prospecté ces étrangers fortunés.

Le Club n’a pas planté non plus son drapeau dans de nouveaux pays, sa spécialité jadis. «Le père Trigano était un défricheur : il repérait les plus beaux endroits du monde et y achetait les meilleurs terrains», se souvient un vétéran du tourisme. Or, depuis 1997 et l’inauguration du village cubain de Varadero, fermé depuis, le catalogue est sans surprise. Le groupe ne peut plus assumer seul ces chantiers et doit trouver des associés. Voilà des années qu’il promet un village à Oman, un endroit à la mode. Patience : il devrait ouvrir en 2012. Quant au premier club chinois, annoncé pour novembre, il visera surtout les familles locales. Dommage. «Nos gros clients se plaignent d’aller tout le temps aux mêmes endroits», regrette une commerciale à Paris.

Ce manque de variété n’est pas le seul handicap dont souffre le Club : le service, qui doit être irréprochable quand on vise une cible VIP, n’a pas atteint la qualité espérée. «Nos concurrents, désormais, ce sont les palaces Four Seasons», affirmait – un peu vite – Giscard, en 2006. Pour mettre ses GO™ au pli, le patron a bien créé une «université des talents», à Vittel. Mais, avec un budget réduit à 3,3 millions d’euros en 2009, contre 4 millions un an auparavant, difficile de tenir l’objectif. «La formation de beaucoup d’employés a été expédiée en quelques jours. On leur a dit de ne plus tutoyer les GM™ ni de leur taper dans le dos et basta», regrette un ancien chef de village.

Difficulté supplémentaire : un GO™ sur deux part au bout de six mois, découragé par le maigre salaire (le Smic) et l’absence de carrière. «Cela complique la capitalisation d’expériences», admet Sylvie Brisson, chargée de l’université des talents.

Le hic, c’est que personne, dans l’état-major, ne dispose davantage d’un savoir-faire hôtelier. Quand Accor détenait près de 30% du Club, ses équipes arpentaient les villages pour apprendre au personnel les gestes de base. Mais, dès que le groupe a commencé à vendre ses parts, en 2006, la collaboration a cessé. Conséquence : il n’y a plus un seul professionnel de la table dans le management, Giscard, diplômé de Sciences po, préférant s’entourer d’HEC et d’Essec.

Confronté depuis un an et demi à la crise, comme tous les acteurs du secteur, le boss tente aujourd’hui de rectifier le tir en multipliant les promos : – 15% pour les réservations à l’avance («happy week») ; – 30% pour les départs de dernière minute («prêt à partir») ; de – 5 à – 19% pour les familles dans 36 villages («family free»). Un joyeux Barnum. «Les tarifs changent en cours de saison, alors que les réservations ont déjà commencé, tacle un concurrent. Ceux qui paient plein pot ont l’impression de se faire avoir.» Pour compenser ces rabais, un plan d’économies a permis de gagner 63 millions d’euros l’an passé, grâce notamment à 68 licenciements au centre d’appels de Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis.

Mais le Club a aussi rogné sur certaines prestations. Sans prévenir. «Au milieu de l’été dernier, les chefs de village ont reçu l’ordre de tailler dans les coûts du jour au lendemain», raconte un GO™. A Agadir, le repas avec huîtres a été supprimé. Ailleurs, ce sont le ski nautique, le cirque ou la langouste qui ont disparu illico. «Nous avons essayé de limiter l’impact sur la satisfaction de la clientèle, mais, c’est vrai, la perception du rapport qualité-prix s’est légèrement dégradée en 2009», reconnaît Caroline Puechoultres, la patronne du marketing.

Giscard, lui, n’en démord pas. «Nous devrions dégager 10% de marge d’exploitation en 2013, c’est mécanique», répète-t-il en épluchant ses comptes. Méthode Coué ?

Ca ira mieux en 2013, donc...

Ca ne m'empêchera de repartir au club d'ici là, je ferais quoi, autrement ?

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Invité Muriel75018

Merci pour l'article super intéressant !!!! qui reprend parfaitement c que je pense malheureusement du club actuel !!!

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