melusine

Au Sénégal, Air France change d'aéroport prochainement : http://laerien.fr/2017/12/06/air-france-rejoint-le-nouvel-aeroport-blaise-diagne-a-dakar/

Catherine et Liliane au SPA !

à suivre en mars...

En fait, les cyclones ont perturbé toute la faune de la zone des Caraïbes : La faune marine malmenée "La campagne Remmoa (1) a été particulièrement perturbée par le passage rapprochés des ouragans Irma et Maria, qui ont bouleversé le planning des scientifiques. . Quelques survols opportunistes ont pu être mis en oeuvre lors de fenêtres météo favorables mais l'état de la mer a rendu les observations aériennes difficiles. D'autre part, les avions avaient été mis à la disposition des autorités pour appuyer les secours à destination des îles du Nord. Les avions sont partis le week-end dernier vers la Guyane pour poursuivre dans des conditions plus favorables les observations des mammifères marins, oiseaux marins et autres pélagiques. Basé depuis début septembre en Guadeloupe, les membres de l'équipe Pélagis de la Rochelle, responsable scientifique de la campagne, avaient été rejoints par des observateurs membres d'association de Martinique, Guadeloupe, Guyane, Polynésie, Seychelles et Nouvelle-Calédonie. Les scientifiques avaient étudié les relevés météo de plusieurs années avant de choisir cette période où les vents faibles et une mer calme (hors risque de dépression tropicale) favorisent l'observation de la grande faune marine. C'était sans compter sur une saison cyclonique d'une rare violence. José, Irma, Maria se sont succédés et déchaînés sur la zone, compliquant les conditions d'observation. Quelques survols ont pu être réalisés avant que les équipes ne décident de rejoindre la Guyane. Cette période agitée aura cependant permis à la mission d'étudier les conséquences, les impacts de ces phénomènes sur la faune marine. Ainsi, lors des survols précédant le passage d'Irma, les oiseaux marins se sont fait rares, les requins avaient manifestement choisi le repli en eaux profondes. Les mammifères marins, eux, sont restés dans la zone, des cachalots ayant été observés côté Caraïbes. Selon les renseignements fournis par l'Agence Française pour la Biodiversité, « le Réseau National d'Echouages, qui suit les mortalités de mammifères marins, n'enregistre actuellement pas d'augmentation dans les échouages de cétacés sur les côtes antillaises » . Par contre, on a toutes les raisons de s'inquiéter pour la reproduction des tortues marines qui pondent dans le sable, pour l'habitat des oiseaux marins (nichoirs, sites de ponte). L'état de l'eau de mer lors de ces intempéries peut aussi contribuer à la destruction des coraux, des éponges et autres écosystèmes alors en manque d'oxygène. Dans les Caraïbes, on considère généralement que 15% des coraux d'une zone touchée par un cyclone disparaissent dans l'année qui suit. Enfin, les nombreux déchets (en particulier les plastiques) et polluants d'origine terrestre apportés en mer lors d'un cyclone vont impacter le milieu marin sur le long terme." (1) Recensement des mammifères marins et autre grande faune pélagique par observation aérienne Source : http://www.martinique.franceantilles.fr/actualite/environnement/la-faune-marine-malmenee-435696.php C'est terrible !

La Grande Anse d'Arlet est touchée aussi ? Il est temps de nous faire un Feedback HYPER DETAILLE !

J'avais remarqué la même chose pour la vidéo promotionnelle de Cefalu, tous les villages l'ont diffusée sur les réseaux sociaux, mais, en décalé. Pour Charlevoix, on a eu un tir groupé ! Les photos correspondent à des thèmes, on a eu les bouées flamants roses, puis les bouées licornes... Le cocktail et la tasse de café dans une main, c'est un grand classique... Cet été, on a vu beaucoup de pieds dans l'eau ou dans le sable, quelquefois, on a le combo : cocktail + pieds !

Columbus (merci Carole)

Bintan

Un (grand) mal pour un (petit) bien : "Comme cela a été évoqué, l'aspect positif du passage du cyclone MARIA sur le centre des petites Antilles est que les algues de Sargasses ont quasiment disparu. Cela a été également observé avec HARVEY sur l'île de la Barbade et IRMA sur les îles allant d'Antigua aux îles Vierges ainsi qu'en 2014 avec GONZALO. Il suffit d'avoir une longue et puissante houle de plus de 3 mètres, dissipant progressivement ces nappes au large ou en amenant ces algues sur le sable. Cela prendra plusieurs mois afin de revoir ces algues indésirables sur le littoral des petites Antilles..." Source : Météo des cyclones (Facebook)

Je vote pour un concours avec plusieurs prix et auquel les Gentils Modérateurs pourraient participer aussi...

Légère variante à La Caravelle !