Aller au contenu
Spirit 45 Club Med Avis Conseils

melusine

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    14 528
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1 074

Tout ce qui a été posté par melusine

  1. Chaque fois que j'ai écrit à ce service à propos d'un séjour effectué, j'ai eu une réponse écrite, une fois suivie d'un coup de téléphone pour une tractation. C'étaient des problèmes sérieux, je n'abuse pas des lettres de réclamation non plus ! Je pense qu'ils se concentrent plutôt sur les retours de vacances dans le but d'améliorer les prestations.
  2. Je suis persuadée que des gadgets colllector ont été fabriqués pour les fêtes internes, les VIP de la Direction, tout ça ! On les retrouvera un jour sur eBay...
  3. Oui, tous les Great Members ont eu le mail ! Faut pas croire au Père Noël non plus... D'abord, c'est pas de saison !
  4. Pour célébrer son soixantième anniversaire, lundi dernier, le Club Med™ a offert aux 400 agents de voyages invités une surprise de taille : l'ancien GO™ Nicolas Canteloup a parodié l'équipe commerciale qui avait animé la soirée. Eric Chauvet, directeur commercial France ventes individuelles, Pascal Gardin directeur commercial indirect France et Muriel Sacoun, directrice régionale ont rappelé les principales dates du Club, en montrant l’évolution des premières cases de 1950 aux villas de luxe de 2010 en passant par le premier village en dur à Agadir en 1965. Avec de nombreuses comparaisons avant/maintenant sur des thèmes comme l’hébergement ou l’encadrement enfant, le TO a insisté sur sa montée en gamme et Muriel Sacoun a même poussé la chansonnette pour rappeler l'offre "Summer time". L'humoriste ne s'est pas gêné pour les parodier, mimant Eric Chauvet par des remerciements interminables et Muriel Sacoun par une avalanche de chiffres sur le Club Et de conclure : "Vous avez compris que c'était les 60 ans du Club Med™ ? Si non je recommence !" Autre surprise, 25 agents ont été tirés au sort pour participer début 2011 à un éductour pour découvrir le futur village Sinaï Bay, en Egypte. Cette soirée, organisée au théâtre du Merveilleux, dans le 12ème arrondissement de Paris, était le point d'orgue d'une tournée dans dix villes françaises. Dommage qu'on ne puisse pas avoir la même chose en village...
  5. Si tous les répulsifs ont échoué (ou si vous avez oublié d'en mettre...) Contre les cloques, jamais sans mes tubes ! En pharmacie : - sans ordonnance : crème Onctose Hydrocortisone apaise légèrement - avec ordonnance : crème Diprosone 0,05 effet miraculeux !
  6. Très seyant la moustiquaire, sur la plage, on va lancer la mode ! Bah oui, y'a les puces des sables, aussi...
  7. Le DEET est le produit le plus efficace contre les moustiques tropicaux et il est conseillé pour les bébés dès l'âge de 2 mois : http://medecinetropicale.free.fr/spe/girard.htm Perso, j'en ai mis sur ma peau, même au soleil, pas de soucis (toutes les 2 heures)...
  8. Plaquette insecticide Pyrel pour la chambre (c'est bio et ça sent bon) : http://nouvelle-epicerie.fr/catalogint/pro...roducts_id=3517 (dispo à Carrouf) Et Pschitt au DEET dehors : Moustidose, Care Plus, Repel Insect, c'est pas ça qui manque... http://www.webmarchand.com/a/liste_produit...ste_produit.htm Comme Sandra, je suis très aimée de ces sal... de dames moustiques !
  9. Ma pharmacienne a changé de produit ! Elle a abandonné le 5/5 totalement inefficace et vend du Moustidose au DEET. On les aura !
  10. Je sens que tu vas faire des jaloux ! Pas de pin's, pas de stylo, pas de porte-clé ? Ca, c'est terrible !
  11. Selon mon agence de voyage, l'offre Happy First : 15% de réduction, dans la limite de 500 euros a des quotas (un nombre limité de personnes par semaine et par village). Elle s'arrête le 4 juillet, ensuite, c'est 10%, dans la limite de 300 euros jusqu'au 5 septembre... Faites vos jeux, Mesdames et Messieurs, rien de va plus !
  12. Nous avons un sujet concernant ce livre (avec des extraits) dans l'espace VIP. http://www.macase.net/forums/index.php?showtopic=11258 L'article du Républicain Lorrain : Ici
  13. Moi aussi, je l'ai copiée !
  14. Normalement, l'opération démarre en juin. J'aimerais bien 2 ou 3 gadgets collector ! Peut-être aux Boucaniers...
  15. Avec Flavia, Joss, Mika, Fabien et plein d'autres !!!
  16. 60 ans et l'aventure continue !
  17. Y sont forts ces Suisses ! Mon petit doigt me dit que le chef de village néo z cité dans l'article : http://toutsurlachine.blogspot.com/2010/04...-frontiere.html c'est Ben Martin, à défaut de tigre de Mandchourie, ils auront un joli petit Kiwi ! http://www.macase.net/forums/index.php?showtopic=9900
  18. D'après le commentaire sur le village, ils laissent entendre qu'il y a des pandas ou des panthères des neiges ! Quelle intox !
  19. On peut faire des simulations de tarif pour Yabuli village de neige en Chine, sans transport, à partir de décembre 2011. A Yabuli, venez passer des vacances exceptionnelles en famille au coeur d'une nature généreuse et préservée ! Dans la province de Heilongjiang, à l'extrême nord-est de la Chine, à 195 km de l'aéroport d'Harbin, Yabuli est la première station de ski en Chine. Elle accueille l'équipe chinoise de ski alpin lors de ses entrainements. A 470 m d'altitude, nichée au coeur d'une imposante chaîne de montagnes couverte de forêts de pins, vous serez séduit par le domaine skiable de Sun Mountain: 31 km de pistes qui invitent les skieurs tous niveaux aux plaisirs de la glisse. Il vous arrivera aussi d'apercevoir de nombreux animaux en liberté au sein de ce superbe parc national. En ce qui me concerne, c'est vraiment histoire de... http://www.clubmed.fr/cm/sejour-yabuli-chi...YABC-ac-vh.html
  20. Ce sont les villages pour les chinois qui seront des 4 Tridents. Certains villages resteront en 3 T...
  21. Cette nouvelle a été largement commentée sur le net, annonce de l'AFP et interview du Figaro à lire ici : http://www.macase.net/forums/index.php?sho...4584&st=900
  22. Le double effet Kiss Cool Club Med™, sûrement...
  23. A la demande générale, voilà le fameux article... Pas la peine de refaire les mêmes commentaires, hein ? Le 03/06/2010 à 07:30 - Mis à jour le 03/06/2010 à 07:34 Club Med™, dix ans de muscu et toujours raplapla Depuis qu’il est monté en gamme, le Club est devenu cher pour ses clients traditionnels mais manque encore de confort pour les touristes habitués aux hôtels de luxe. Un vrai dilemme. «Venez tester le Club Med™», invite toujours son patron, Henri Giscard d’Estaing, quand il rencontre un journaliste. Fin mars, Capital l’a pris au mot. Incognito, nous nous sommes mêlés aux clients de La Médina à Marrakech. Donnant sur la célèbre place Djema’a el-Fna, ce village 3 tridents – les étoiles dans le langage de la maison – regorge de boiseries, mosaïques et vasques mauresques. Désuet, mais charmant. Le service, en revanche, n’est pas digne du prix, 1 000 euros la semaine par adulte, soit 40% de plus qu’au club Marmara voisin, d’un standing pas si éloigné. La propreté du bar laisse à désirer, les serveurs ne nettoient pas les tables entre deux orangeades, les femmes de ménage entrent dans les chambres sans frapper, les fleurs et les chocolats offerts aux clients fidèles ont disparu. «Nous avons un petit problème à La Médina, qui sera réglé dans les prochains mois», concède Henri Giscard d’Estaing, teint hâlé et bracelet du Club au poignet. «Mais le nouvel espace 5 tridents, Le Riad, vous l’avez essayé ?», enchaîne-t-il. A 2 890 euros la semaine, non, pas encore… L’époque «darli dirladada» des mythiques «Bronzés» est bien finie. Au Club Med™, on ne jure plus que par le haut de gamme. Une stratégie défendue bec et ongles par Giscard. A son arrivée aux manettes, en 2003, il avait promis de redresser les comptes en repositionnant le Club, trop «popu» à ses yeux. Le bilan, comme celui de son prédécesseur, Philippe Bourguignon, n’est hélas pas brillant. En dix ans, le Club a perdu un tiers de ses clients – ils étaient 1,2 million en 2009 – et accumulé 264 millions d’euros de pertes, dont 53 millions l’an passé. Sa valeur en Bourse a été divisée par dix, à 400 millions d’euros – pour 1,36 milliard de chiffre d’affaires – aiguisant l’appétit des repreneurs les plus farfelus. Le nom de l’ex-argentier du foot Jean-Claude Darmon – qui a démenti – a circulé. Le styliste Christian Audigier a proposé ses services. Quant à Bernard Tapie, il a acheté puis revendu en décembre 1% du capital, en clamant partout que le modèle du Club n’était pas viable. «Henri» lui-même, comme on l’appelle en interne, ne prévoit pas de retour aux bénéfices avant… 2013. Et, en privé, il bat sa coulpe avec l’humour pince-sans-rire qui le caractérise. «Mes actionnaires auraient des raisons de me virer, mais ils sont trop nombreux pour se mettre d’accord là-dessus», a-t-il lâché à des proches.Sur le papier, pourtant, la stratégie du chef des GO™ – gentils organisateurs – avait de quoi les séduire. Inventée par Gérard Blitz et Gilbert Trigano en 1950, la formule «tout compris» du Club Med™ – séjour-animation-buffet à volonté – était à bout de souffle au début des années 2000 : Nouvelles Frontières, Fram ou Look Voyages avaient pillé la recette. Plutôt que de la décliner à toutes les sauces (croisières, villages en ville…) comme le précédent P-DG, Giscard préféra fermer les sites les plus rustiques, dont ceux des débuts, composés de cases – tout un symbole – et monter tous les autres en gamme à l’horizon 2009. Séduisant… Mais le pari n’a pas été tenu. En fin d’année dernière, seuls 41 des 76 villages avaient été rénovés. La direction a englouti pas moins de 600 millions d’euros dans l’opération, obtenus grâce à la vente des bijoux de famille  : les Club Med™ Gym, le tour-opérateur Jet Tours et les murs des plus beaux villages. L’ampleur des travaux a fait voler en éclats le calendrier. «Certains se sont avérés plus lourds que prévu», admet, du bout des lèvres, le fils de l’ancien président de la République. Il a donc fallu choisir. Priorité a été donnée aux 4 et 5 tridents (la moitié du parc actuel), dotés d’écrans plats, de lits «king size» et de moquette épaisse. Mais certains 3 tridents n’ont eu droit qu’à un ripolinage, comme Agadir, où les chambres standards ont bien été redécorées, mais dont la taille reste très inférieure aux normes. Une demi-douzaine de villages sont même en si mauvais état – Pompadour, en Corrèze, Les Menuires, en Savoie – qu’ils pourraient tout bonnement fermer. Le problème, c’est que le Club Med™ n’a pas attendu la fin de son ambitieux lifting pour augmenter ses prix. «Sur certaines destinations, il y a un décalage criant entre les tarifs affichés et l’état des installations», reconnaît un cadre. Ce que son P-DG conteste : «Dans les villages non encore rénovés, nos prix n’ont pas augmenté plus vite que l’inflation.» A se demander comment l’ancien conseiller général du Loir-et-Cher mesure l’inflation. Car, en compulsant le catalogue de l’hiver 2006-2007, Capital a constaté des envolées bien supérieures à la hausse nationale des prix (+ 4,4%) relevée par l’Insee sur la période. Pour une famille de 4 personnes, partant une semaine à la mi-janvier, la facture a bondi de 29% sur Cancún et de 42% sur Chamonix Et la valse des étiquettes donne le tournis après rénovation : + 53% aux Deux-Alpes par exemple. Pas étonnant, dans ces conditions, que le Club ait perdu autant de gentils membres – ou GM™. En 2009, ils sont 142 000 à avoir déserté ses 3 tridents. Certes, cette clientèle n’était pas la plus rentable. Mais elle était fidèle et remplissait les villages pendant les «ailes de saison», comme on dit dans le tourisme, avant et après les vacances scolaires. Faute de réservations suffisantes, la durée d’ouverture de nombreux clubs a été rognée d’un tiers, à deux ou trois mois par an. Or, pendant ce temps-là, il faut payer les charges fixes, qui, elles, ont augmenté. En vendant certains murs pour dégager du cash, la direction s’est en effet contrainte à verser des loyers aux nouveaux propriétaires, alors que ses équipements étaient amortis depuis des lustres. Montant de la dépense en 2009 : 186 millions d’euros, en hausse de 17% sur deux ans. Trop cher pour les GM™ historiques, le voyagiste peine aussi à attirer ceux qui peuvent s’offrir ses séjours plus coûteux : il n’a gagné que 13 000 clients l’an passé sur les 4 et 5 tridents. «Avec des tarifs allant de 5 000 à 10 000 euros la semaine pour une famille de 4 personnes, transport compris, le Club vise des foyers aux revenus supérieurs à 10 000 euros net par mois : c’est vraiment une niche», estime Didier Arino, du cabinet Protourisme. Et les nouveaux riches des pays en forte croissance qui déferlent sur tous les lieux huppés de la planète ? Au Club, on les cherche encore. Les Brésiliens ne sont que 68 000 à avoir pris leur bracelet l’an dernier, les Chinois 23 000 et les Russes 10 000, soit moins de 9% des clients. Quant aux Indiens, ils ne figurent même pas dans les statistiques. Trop occupée à financer la rénovation de ses villages, la direction n’a guère prospecté ces étrangers fortunés. Le Club n’a pas planté non plus son drapeau dans de nouveaux pays, sa spécialité jadis. «Le père Trigano était un défricheur : il repérait les plus beaux endroits du monde et y achetait les meilleurs terrains», se souvient un vétéran du tourisme. Or, depuis 1997 et l’inauguration du village cubain de Varadero, fermé depuis, le catalogue est sans surprise. Le groupe ne peut plus assumer seul ces chantiers et doit trouver des associés. Voilà des années qu’il promet un village à Oman, un endroit à la mode. Patience : il devrait ouvrir en 2012. Quant au premier club chinois, annoncé pour novembre, il visera surtout les familles locales. Dommage. «Nos gros clients se plaignent d’aller tout le temps aux mêmes endroits», regrette une commerciale à Paris. Ce manque de variété n’est pas le seul handicap dont souffre le Club : le service, qui doit être irréprochable quand on vise une cible VIP, n’a pas atteint la qualité espérée. «Nos concurrents, désormais, ce sont les palaces Four Seasons», affirmait – un peu vite – Giscard, en 2006. Pour mettre ses GO™ au pli, le patron a bien créé une «université des talents», à Vittel. Mais, avec un budget réduit à 3,3 millions d’euros en 2009, contre 4 millions un an auparavant, difficile de tenir l’objectif. «La formation de beaucoup d’employés a été expédiée en quelques jours. On leur a dit de ne plus tutoyer les GM™ ni de leur taper dans le dos et basta», regrette un ancien chef de village. Difficulté supplémentaire : un GO™ sur deux part au bout de six mois, découragé par le maigre salaire (le Smic) et l’absence de carrière. «Cela complique la capitalisation d’expériences», admet Sylvie Brisson, chargée de l’université des talents. Le hic, c’est que personne, dans l’état-major, ne dispose davantage d’un savoir-faire hôtelier. Quand Accor détenait près de 30% du Club, ses équipes arpentaient les villages pour apprendre au personnel les gestes de base. Mais, dès que le groupe a commencé à vendre ses parts, en 2006, la collaboration a cessé. Conséquence : il n’y a plus un seul professionnel de la table dans le management, Giscard, diplômé de Sciences po, préférant s’entourer d’HEC et d’Essec. Confronté depuis un an et demi à la crise, comme tous les acteurs du secteur, le boss tente aujourd’hui de rectifier le tir en multipliant les promos : – 15% pour les réservations à l’avance («happy week») ; – 30% pour les départs de dernière minute («prêt à partir») ; de – 5 à – 19% pour les familles dans 36 villages («family free»). Un joyeux Barnum. «Les tarifs changent en cours de saison, alors que les réservations ont déjà commencé, tacle un concurrent. Ceux qui paient plein pot ont l’impression de se faire avoir.» Pour compenser ces rabais, un plan d’économies a permis de gagner 63 millions d’euros l’an passé, grâce notamment à 68 licenciements au centre d’appels de Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. Mais le Club a aussi rogné sur certaines prestations. Sans prévenir. «Au milieu de l’été dernier, les chefs de village ont reçu l’ordre de tailler dans les coûts du jour au lendemain», raconte un GO™. A Agadir, le repas avec huîtres a été supprimé. Ailleurs, ce sont le ski nautique, le cirque ou la langouste qui ont disparu illico. «Nous avons essayé de limiter l’impact sur la satisfaction de la clientèle, mais, c’est vrai, la perception du rapport qualité-prix s’est légèrement dégradée en 2009», reconnaît Caroline Puechoultres, la patronne du marketing. Giscard, lui, n’en démord pas. «Nous devrions dégager 10% de marge d’exploitation en 2013, c’est mécanique», répète-t-il en épluchant ses comptes. Méthode Coué ? Ca ira mieux en 2013, donc... Ca ne m'empêchera de repartir au club d'ici là, je ferais quoi, autrement ?
×
×
  • Créer...

Information importante