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le Club: Chinois? Italien? Français?? voici un rapide état des lieux (ça change bcp en ce moment!) du tour de table actuel sachant que même les fonds à "consonance française" ont des capitaux à majorité étrangère... 1. Fosun Property Holdings9,98% 2. Strategic Holdings9,92% 3. Axa Private Equity9,40% 4. ACF II Investment8,94% 5. Fosun Luxembourg Holdings8,31% 6. CMVT International7,10% 7. Rolaco5,60% 8. UBS5,59% 9. Tyrus Capital S.A.M5,56% 10. Credit Suisse Group5,56% 11. Caisse des Dépôts et Consignations (CDC)5,33% 12. Polygon Global Partners5,00% 13. Moneta4,92% 14. Boussard & Gavaudan4,46%
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Great Members, Turquoise, Silver et Gold - Club Med
sujet a répondu à un thecater de onyx dans Le Bar Spirit45
GOOOOOOD!!! c'est dans la veine des écrits de Frank ça!!! -
aucune inquiétude à ce sujet! il n'a pas le même cursus et surtout le même carnet d'adresses que toi...
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Club Med: Henri Giscard d'Estaing, duel au trident L'Express Par Corinne Scemama, publié le 23/09/2014 à 14:02 Le PDG du Club Med -fils aîné de l'ancien président de la République- est parvenu à contrer l'OPA de l'Italien Andrea Bonomi. A l'issue d'un été de combats acharnés et au prix de certains renoncements. Henri Giscard d'Estaing n'a pas ménagé sa peine pour convaincre son allié chinois de surenchérir. Sa chemise rose est impeccablement repassée mais il a tombé la veste, signe d'un léger relâchement, peu habituel chez lui. Installé dans un des fauteuils du siège social, rue de Cambrai, à Paris (XIXe), face au canal de l'Ourcq, Henri Giscard d'Estaing respire, en ce bel après-midi ensoleillé du 12 septembre. Bref intermède. Le matin même, aux termes d'une nuit blanche, il a présenté une nouvelle offre d'achat du Club Med, avec son partenaire chinois Fosun, afin de répondre à l'OPA d'Andrea Bonomi et de son groupe Global Resorts. Si ses yeux trahissent la fatigue, le patron n'a cependant pas l'air d'un homme qui vient sans doute de livrer le combat de sa vie. Fidèle à lui-même, il arbore un éternel sourire, mélange de convivialité, de bonne éducation et de timidité, évoquant un optimisme retrouvé pour la marque au trident, dont il est le PDG depuis douze ans. Certes, la bataille n'est pas terminée - son rival peut toujours renchérir -, mais le quinquagénaire estime être au bout de ses peines. Au passage, il a surtout prouvé sa solidité, lui, le fils de l'ancien président de la République - il en a hérité le chuintement -, trop souvent considéré comme un "dilettante". Sirotant un énième café, il reconnaît du bout des lèvres avoir vécu trois mois d'affrontements "terriblement longs" et "chaotiques". Depuis la surenchère surprise de l'Italien, déposée en juin, "Henri", comme le surnomment les GO, s'est démené sans compter. Pour lui, la remise en question de la montée en gamme des villages, stratégie entérinée voilà dix ans, est une hérésie. Ce possible retour en arrière a décuplé son envie d'en découdre. L'ex-jeune homme BCBG a beau avoir adopté les Crazy signs et autres danses des canards, - ce fêtard est toujours le premier sur la piste -, il ne veut pas entendre parler du retour des "Bronzés". Après tant de nuits de veille et de journées surchargées, pudique, il répugne à s'épancher. Pourtant, il n'a pas ménagé sa peine. Déterminé, concentré, il a, de juin à septembre, mobilisé ses réseaux afin de bâtir un nouveau tour de table. Il a fait aussi le tour des ministères pour défendre son projet. Cet animal politique à sang froid n'a cessé, encore, de multiplier les allers-retours en Chine pour convaincre Fosun et son patron, Guo Guangchang, de relever son offre de 17,50 à 22 euros. Pragmatique, il a même emmené à Shanghai son "ennemi" Bonomi, afin de l'associer aux Chinois. Peine perdue. "Tendu mais pas défaitiste", observe un ami, le GO en chef a poursuivi sa quête durant le mois d'août, en marge de ses vacances au Club de Bali. Pendant quinze jours, il a déambulé dans le village en bermuda, polo chic et mocassins, téléphone portable vissé à l'oreille. "Il a fait preuve de beaucoup de résilience", se félicite son mentor, Alain Minc. "C'est au dirigeant d'absorber le choc"Comment a-t-il vécu cet interminable été ? Henri Giscard d'Estaing se contorsionne sur son siège avant d'éluder la question : "Je ne suis pas doué pour montrer mes émotions." Tout juste lâche-t-il qu'il en a "perdu le sourire". Si les doutes l'ont assailli - il en convient aujourd'hui - personne, ou presque, n'en a rien su. "Never complain, never explain [NDLR : ne jamais se plaindre, ne jamais expliquer] : c'est tout Henri", confirme un ancien collaborateur. A peine perçoit-on son stress à travers ce drôle de rictus qui peut lui tordre le visage, ou à ses moments de solitude, au bord du canal, lorsqu'il tire sur sa cigarette, les yeux dans le vide. "Pendant les grandes épreuves, m'a enseigné Antoine Riboud, c'est au dirigeant d'absorber le choc, aussi pénible et douloureux que ce soit", raconte-t-il. L'adversité, il préfère en plaisanter, tant le sort s'est acharné contre le Club depuis dix ans, entre Sras, tsunami, printemps arabes et autres "folies de la nature et des hommes". Et que dire de la ronde des actionnaires, l'obligeant à jongler entre les participations et les partenaires ? Et des coups de Jarnac à répétition, comme l'irruption, en 2009, de Bernard Tapie, l'homme d'affaires à la gouaille meurtrière ? Sa bonne éducation l'avait empêché de l'affronter directement, mais il l'avait emporté en orchestrant en coulisses la riposte. Aujourd'hui, le marathon, espère-t-il, se termine par cette dernière joute contre un condottiere. Lui estime avoir lutté pour le Club et pour sa propre survie - Bonomi a prévu de le virer. Pourtant, pour parvenir à ses fins, il a dû renoncer à une solution à la française, qu'il avait, jusque-là, défendue bec et ongles. Faute d'investisseurs hexagonaux, il a fini par concocter une seconde offre donnant à Fosun le contrôle de l'enseigne. Voilà le Club Med sous pavillon chinois. Silence gêné de Giscard, obligé de resservir son couplet sur "l'ancrage français, avec une cotation et un siège social en France". Et de réaffirmer son "engagement personnel". Que ferait-il en cas d'échec ? Henri Giscard d'Estaing se fige, soudain ému. "Quitter l'entreprise serait pour moi une très grande tristesse", lâche-t-il. "Le Club, il l'a dans la peau", affirme un proche. On n'en saura pas plus. Des réunions l'attendent. Parvenu à ses fins - ou presque -, il s'autorisera, ce week-end, une pause pour aller chez le coiffeur. Avec tous ces rebondissements, le patron, toujours tiré à quatre épingles, n'a pas eu le temps de se faire couper les cheveux.
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en tous cas tt cela est très bon pour les petits actionnaires que nous sommes! Gallion II = - Fosun: 85 % - U Tour: 7,5% - Ardian: 5% - Management: 2,5% ça n'est plus exactement la même chose (et je pense que Fosun n'aura aucun mal à trouver d'autres alliés au cas où)
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J'avais à l'époque pensé qu'il était judicieux qu'Accor devienne le principal actionnaire du Club (je continue à le croire!) cela aurait fait un très beau groupe d'envergure! mais visiblement il y avait pas mal de questions "personnelles" dans le dossier... pour rappel: (cet article de l'expansion de 2004) Le premier actionnaire deviendra simple minoritaire. Quasiment deux ans jour pour jour ? c'était le 11 juin 2004 ? après s'être emparé de 28,9% du capital du Club Med, Accor se désengage du groupe de tourisme et de loisirs en cédant 80% de sa participation. Soit 22,9%. De sorte que le numéro un de l'hôtellerie en Europe n'en détiendra plus que 6%. L'opération se déroulera en deux temps : d'abord, la cession d'un bloc de 16% pour 139 millions d'euros à un bloc d'investisseurs qui formera à cette occasion un pacte valable deux ans. Ensuite, le solde de 6,9% aux mêmes conditions, c'est-à-dire à raison de 44,9 euros par titre. Réaction des marchés ? A Paris, l'action Accor grimpait de 2,5% vendredi, tandis que le titre Club Méditerranée dérapait lourdement de 6% après avoir été suspendu dans la matinée. A l'époque, Accor était entré en force au capital du Club moyennant 252 millions d'euros, pour également 45 euros par action. L'idée étant officiellement pour lui d'élargir sa palette en se positionnant sur le segment des vacances haut de gamme, au moment où le groupe dirigé par Henri Giscard d'Estaing amorçait précisément sa mue en montant en gamme. Ce faisant, le groupe dirigé alors par Jean-Marc Espalioux se substituait ainsi aux deux piliers historiques de la marque aux tridents : la famille Agnelli et la Caisse des Dépôts. Pour autant, Accor n'avait pas vocation à grimper davantage. " En vérité, avoue un analyste parisien, spécialiste du titre, les pouvoirs publics français cherchaient désespérément un industriel " maison " pour pallier la défection du clan italien. Et Accor a été celui-là. La CDC pilotant l'affaire ". Aujourd'hui, le numéro quatre mondial de l'hôtellerie et des services opère donc un virage stratégique, même s'il s'est engagé à conserver pendant au moins deux ans ses 6%. En cela, il poursuit son recentrage sur son c?ur de métier, après s'être délesté dernièrement de ses participations dans Compass (96 millions d'euros), puis Carlson Wagonlit Travel (390 millions). Le groupe dirigé par Gilles Pélisson vise en effet la première place dans l'hôtellerie mais aussi dans les services. Ce qui suppose de lourds investissements. La direction a ainsi programmé 3 milliards d'euros pour ouvrir 200.000 nouvelles chambres d'ici à 2010, notamment dans les pays émergents tels le Brésil, l'Inde, la Chine ou la Russie. Et puis, sa participation au sein du Club n'était pas assez rentable, " son retour sur investissement oscillait au mieux entre 2 et 5% quand il n'était pas négatif " assure l'analyste. Le patron d'Accor n'avait-il pas souligné aussi il y a trois mois que " les synergies envisagées étaient inférieures aux attentes " ? Enfin, " on ne saurait oublier la dimension personnelle du dossier, explique-t-on en coulisses. Gilles Pélisson venge ainsi d'une certaine manière son ami Philippe Bourguignon, jadis débarqué du Club Méditerranée par un putsch orchestré par son directeur général de l'époque, Henri Giscard d'Estaing ". Quoi qu'il en soit, pour le Club Méditerranée, le départ de son actionnaire de référence rebat les cartes, puisque ce rôle échoît désormais à la société de gestion Richelieu Finances et ses 25%. Derrière se bouscule un pool d'investisseurs mené par la Caisse des dépôts et de gestion du Maroc (10%) qui comprend un promoteur immobilier européen dont on ignore l'identité (4%) mais que d'aucuns identifient comme Icade, la filiale de la CDC, et Air France-KLM (2%). L'italien Generali (1,5%) s'invitera lui lors de la seconde fournée. En marge de cette opération, Club Méditerranée a engrangé les premiers dividendes de sa nouvelle politique dédiée à la modernisation de ses villages. Le groupe est ainsi sorti du rouge avec un bénéfice net de 1 million d'euros au premier semestre contre un déficit de 25 millions l'année précédente. Dans le même temps, son chiffre d'affaires s'est apprécié de 10,5% à 828 millions. A noter que le groupe avait déjà bouclé l'exercice 2004/2005 sur une note positive avec 4 millions de profits ; les premiers depuis cinq ans. et c'est pas fini!!!
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Djerba la douce est plein parce qu'ils ont fait en sorte qu'il soit plein! en fermant la Fidèle, Méridiana, Hammamet (plus les fermetures en Egypte!) forcément c'est plus facile! - pareil pour la progression d'occupation des 4&5 tridents, si tu fermes les 2&3 - pareil pour les Chalets & Villas: comme ça n'existait pas avant, ça ne peut que progresser...
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Miss92 devrait trouver un chevalier blanc (ou son cheval) vers Vittel
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Pour ceux qui ont connu Macase à son origine, il y avait des pubs (bien plus gênantes que celle çi) le choix avait alors été de créer une partie VIP pour aider au financement du site. Là WebChef nous a communiqué les coût pour faire tourner la machine de façon confortable, ben... c'est clair que c'est pas donné!! Bon, Mark Zuckerberg & Facebouc sont très intéressés par le site et ont fait une offre d'OPA, à suivre...
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en France c'est 21€ (taxe belge?)
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si bien sur. Mais si on parle d'OPA, je rappelle juste que ce n'est pas une fin en soit (surtout dans ce dossier qui à mon avis est loin d'être bouclé) quand on est actionnaire. et pour aller plus loin : être actionnaire te permet d'avoir un mot à dire (si petit soit-il) 1+1+1+1........
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Je précise que nul n'est obligé d'apporter ses titres! Si vous êtes fan du Club et actionnaire vous pouvez le rester. pour 21€ c'est faire un beau cadeau
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C'est qui ce "Durant" ?? GO, GE, GM???
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pas besoin d'aller sur boursorama!!! c'est c'était déjà sur Macase!!!
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Perso, je ne le sens pas du tout.... mais rien n'est joué: pour boucler une OPA, il faut + de 95% des titres et je pense qu'ils sont encore très nombreux ceux qui n'ont pas envie de céder leurs titres de cette belle entreprise (dans les PP et les gros)
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La bataille pour la conquête du Club Méditerranée a connu jeudi un nouveau rebondissement avec le retrait de l'offre commune de la société française d'investissement Ardian et du conglomérat chinois Fosun, mais ce dernier pourrait ne pas avoir dit son dernier mot. Gallion Invest, la société du tandem franco-chinois, a annoncé jeudi qu'elle retirait son offre, au lendemain de la validation par les autorités boursières d'une OPA rivale bien plus généreuse: celle de l'homme d'affaires italien Andrea Bonomi. L'offre de M. Bonomi "a désormais toutes les chances d'aboutir", au vu notamment de son prix "attractif", a commenté le courtier Gilbert Dupont dans une note. L'abandon de l'offre de Fosun et Ardian et l'éloignement de la possibilité d'un nouveau relèvement du prix d'OPA provoquait une baisse du titre Club Med dans les premiers échanges à la Bourse de Paris (-1,07%, à 21,22 euros). Mercredi, l'Autorité des marchés financiers (AMF) avait donné son feu vert à la surenchère sur le Club Méditerranée déposée par M. Bonomi au prix de 21 euros par action. Fosun-Ardian ne proposait pour sa part que 17,50 euros et le conseil d'administration de Club Med avait dû, avec réticence, accepter d'étudier l'offre de M. Bonomi et de ses partenaires. Le projet de M. Bonomi, qui détient déjà 10,56% de Club Med, valorise le groupe à 790 millions d'euros contre un peu moins de 600 millions d'euros pour l'offre franco-chinoise. Lancée en mai 2013 et plusieurs fois retardée, notamment par des recours en justice, l'offre d'Ardian et Fosun avait initialement obtenu le soutien unanime de la direction. Le PDG du Club Med Henri Giscard d'Estaing avait notamment mis en avant le fait qu'avec l'option franco-chinoise, le groupe resterait à majorité français. Le management soutenait aussi cette offre, qui lui faisait une place dans le nouveau tour de table. Mais, en raison de l'écart important de prix entre les deux offres, le conseil d'administration du Club Med avait bien été contraint de recommander aux actionnaires --du moins ceux intéressé uniquement par le seul aspect financier-- d'apporter leurs titres à l'offre de M. Bonomi. Mais les administrateurs avaient émis des "interrogations stratégiques" sur l'offre italienne. Selon les connaisseurs du dossier, Gaillon Invest n'était pas en mesure de surenchérir, car Ardian a la réputation de ne jamais relever le prix de ses acquisitions et entendait bien ne pas démordre de cette position. En revanche, Fosun, un conglomérat diversifié dont le tourisme est un axe de croissance, était susceptible de payer plus, d'autant que la nouvelle stratégie du Club passe par un fort développement de sa présence en Chine. - Des stratégies différentes - Fosun n'a d'ailleurs pas complètement jeté l'éponge puisqu'il continue toutefois à "réfléchir" à ses options dans ce dossier, selon un communiqué publié par Gaillon Invest, la structure mise sur pied par Ardian et Fosun pour mener à bien leur OPA. Ardian possède actuellement 8,3% du capital de Club Med et Fosun 10%. Les deux groupes continuent par ailleurs de gérer leur participation de concert, ont-il rappelé dans leur communiqué. Pour développer Club Med, M. Bonomi, --héritier d'une fortune immobilière et industrielle-- veut accélérer le développement en Asie mais sans oublier la France, l'Europe et l'Amérique, et en misant aussi sur des villages de moyenne gamme (3 Tridents). Le projet concurrent de Fosun et Ardian misait lui exclusivement sur le haut de gamme. L'homme d'affaires milanais, dont le projet s'appuie sur plusieurs partenaires du secteur du tourisme, doit financer 720 millions d'euros, dont 475 millions qu'il compte apporter sur fonds propres. Un montage jugé très solide par les experts du marché. Il a d'ailleurs trouvé comme allié Serge Trigano, ex-PDG du groupe de 1993 à 1997, et fils du fondateur, qui en cas de victoire italienne, reviendra comme président non exécutif des célèbres clubs de vacances.
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non non... j'ai aussi de gros soucis de connexion (pourtant je tape bien 3615 macase!)
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Serge Trigano??? soyons sérieux! On lui doit (enfin c'est mon avis) la mauvaise gestion de la fin des années 80, il avait juste été parachuté par papa!
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d'après le journal "les Echos" de hier, la CDC refuse catégoriquement de jouer les arbitres dans ce dossier, déjà qu'ils avaient été fortement poussés à rentrer dans le capital du Club pour compenser le départ d'Accor à l'époque et cela ne leurs à rien rapporté, bien au contraire...
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en tous cas avec Sol Kerzner (Atlantis, Six Sense....) derrière, ç'est plus la même rigolade!
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Rencontre entre macasiens à St. Ambroggio du 05 au 12/09/2015
un sujet a répondu à onyx dans Le Bar Spirit45
je viens de réaliser qu'on parle de 2015 ! alors pour moi c'est impossible de planifier aussi lgtmps à l'avance (et en + j'aime pô ça!) on va tous à Kamarina en 2014 et puis voila! -
ces courriers sont, je trouve, assez "partisants" JE GARDE! (un certain nombre)
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Ce serait pour moi le scénario idéal: Plus de 50% (mais surtout pas 95% car là on serait obligés d'apporter nos titres!) et là ils retirent le titre de la cote, la plupart des petits actionnaires fuiront car justement ils s'imaginent ne plus détenir leurs actions et pourtant, une sortie de cote c'est le top!!! et dans 5ans ils reviennent avec le CM coté à Hong Kong et Paris à 50, 60, 100€ ???